Africa déco

Dans l’ artisanat africain , les cavaliers généralement en bronze sont portés comme des talismans, patinés et lustrés par le frottement. Les guerriers représentés sur leur monture ont la tête enveloppée dans un chêche identique aux Touaregs.
Soumis aux assauts successifs de leurs voisins du Kanem puis à des hordes venues de l'Est, les Sao durent abandonner leurs terres pour s'installer au Nord-Ouest du Cameroun où ils se métissèrent avec les indigènes donnant ainsi naissance à une ethnie nommée Kotoko. Plus qu'une ethnie, les Sao sont une civilisation aujourd'hui disparue. On les retrouvait entre le XIIème et le XIVème siècle dans une zone géographique s'étendant sur les frontières entre le Tchad, le Cameroun et le Nigeria. Ce bronze, inspiré des plus belles réalisations Sao est ...

Art africain Sao. Cette petite sculpture africaine en bronze constitue, pour les Sao, un talisman censé les protéger de la folie. Il est donc porté en permanence. Le génie qui possèderait le fou est représenté par le cavalier, le cheval figurant la victime. Les Sao, ancêtres des Kotoko, étaient établis, entre le XIIe et le XIVe siècle dans une zone géographique s'étendant sur les frontières entre le Tchad, le nord Cameroun et le Nigeria. Soumis aux assauts successifs de leurs voisins du Kanem puis à des hordes venues de l'Est, les Sao durent abandonner leurs terres pour s'installer au Nord-Ouest du Cameroun où ils se métissèrent avec les indigènes donnant ainsi naissance aux Kotokos. Les Kotoko attribuent toujours aujourd'hui au métal cuivreux une origine mythique lui conférant ...

Utilisée comme une amulette créditée de vertus apotropaïques, cette sculpture africaine en bronze constitue, pour les Sao, un talisman censé les protéger de la folie, porté en permanence. Le génie qui possèderait le fou est représenté par le cavalier, le cheval, rare attribut de prestige dans ces régions du Sahel, figurant la victime. Les Sao, ancêtres des Kotoko, étaient établis, entre le XIIe et le XIVe siècle dans une zone géographique s'étendant sur les frontières entre le Tchad, le nord Cameroun et le Nigeria. Ils se sont établis sur des collines , ce qui leur permettait de repousser les envahisseurs. La fonte à la cire perdue était déjà couramment pratiquée dès le XIIe siècle par cette ethnie africaine, qui produisait principalement, parmi les objets de prestige, des bijoux en ...

Jolie figure de cavalier à cheval de type figuratif. Les yeux du personnage sont vitrés à la manière kongo. Patine brillante, fissures de dessication sur la base.
Les Vili, les Lâri, les Sûndi, les Woyo, les Bembé, les Bwende, les Yombé et Les Kôngo constituaient le groupe Kôngo , dirigé par le roi ntotela . Leur royaume connut son apogée au XVIe siècle. De même croyances et traditions, ils produisirent une statuaire dotée d'une gestuelle codifiée en rapport avec leur vision du monde. Les nganga, à la fois guérisseurs, avaient en charge les activités religieuses et la médiation envers le Dieu appelé Nzambi par l'intermédiaire de figures consacrées.

Chevauchant une figure stylisée associée à un animal mythique, cette effigie de déesse est étrangement coiffée d'un caméléon composant une crête. Le crâne est doté de tempes rasées selon la tradition locale. Intrigante pièce pour déco tribale de caractère.
Principalement agriculteurs, le groupe Senoufo habite une région de savanes qui couvre le sud du Mali et du Burkina Faso, et le nord de la Côte d'Ivoire. Il englobe une cinquantaine de sous-ethnies. Le sSenoufo parlent une langue voltaïque Gur, Gour, comme les Lobi et les Koulango. Les conseils d'anciens, dirigés par un chef élu, administrent les villages senoufo. Régis par les traditions matrilinéaires,ils sont composés de grappes d'habitations nommées katiolo . Chacun d'eux possède sa propre association Poro qui initie les ...